L’Équateur : le Pays des 4 mondes
« Un voyage en Équateur est l’occasion unique de profiter de toutes les richesses de l’Amérique du Sud en quelques jours. »
Regardez les différentes possibilités d'hébergement et d'activités en Équateur. Si vous avez des questions, écrivez-nous maintenant.
Patrimoine d'une grande valeur
L’influence des Incas est encore très présente aujourd’hui en Équateur. Le Capac Ñan, les vestiges d’Ingapirca ou encore les nombreux marchés andins des hauts plateaux vous feront ressentir fortement cette empreinte historique.
L’influence des Incas est encore très présente aujourd’hui en Équateur. Le Capac Ñan, les vestiges d’Ingapirca ou encore les nombreux marchés andins des hauts plateaux vous feront ressentir fortement cette empreinte historique.
L'architecture coloniale
Quito, classée patrimoine mondial de l’Humanité en 1978 et perchée à 2850 mètres d’altitude est considérée comme la plus belle ville d’Amérique du Sud et la mieux préservée avec plus de 300 bâtiments coloniaux.
Les silhouettes de quatre volcans – le Cotopaxi et l’Altar au sud, l’Antisana à l’est et le Cayambe au nord – l’encerclent avec panache. Cuenca est également classée au Patrimoine mondial depuis 1999. Ces deux villes et bien d’autres (Riobamba, Ibarra, Zaruma, etc.) abritent des églises coloniales de style baroque richement décorées, des façades blanches derrière lesquelles se cachent de magnifiques patios.
Les musées y sont particulièrement riches et intéressants. La contribution la plus importante de l’Équateur à l’histoire de l’art et celle de l’École de Quito (Escuela Quiteña).
Les vestiges pré-colombiens
Le site le plus important est celui d’Ingapirca. Son temple du soleil servait de lieu cérémoniel et vraisemblablement d’observatoire solaire.
Sa structure sans mortier, composée de niches et de portes trapézoïdales est caractéristique de l’architecture inca. D’autres sites incas, de moindre importance mais non dénués d’intérêt, jalonnent le Capac Ñan en Équateur.
Les marchés andins
Il ne faut pas rater l’expérience d’une ou plusieurs visites de marchés andins.
Couleurs des costumes traditionnels, cris des animaux, fruits et légumes à profusion, le tout dans des décors de montagnes somptueux, vous permettront d’approcher la culture indigène et de faire un saut dans le passé. Nous saurons vous proposer la visite de marchés authentiques et reculés, à l’écart des circuits touristiques classiques.
N’ayant lieu qu’une fois par semaine, nous nous arrangeons pour déterminer vos dates de passage dans ces bourgades en fonction des jours de marchés.
Musique, peinture et littérature
Bien au-delà de la flûte de pan et de la musique folklorique andine, la musique équatorienne propose beaucoup d’autres genres de diverses influences : la cumbia, d’origine colombienne, qui prend ici des accents plus mélancoliques et le pasillo, immortalisé par Julio Jaramillo (1935-1978), le plus célèbre chanteur équatorien, auquel un superbe musée à Guayaquil est dédié. Les « bandas municipales » font également partie du paysage musical équatorien et jouent fréquemment sur les places des villes et villages en fin de journée. Votre chauffeur pourra, si vous le désirez bien sûr, profiter des trajets sinueux pour vous faire découvrir tous ces genres musicaux.
Le 20ème siècle vit l’essor de la peinture « indiginesta » dont les plus célèbres représentants furent Eduardo Kingman et surtout Oswaldo Guyasamin, dont les plus belles toiles sont exposées au Museo del Banco Central ainsi que dans son ancienne demeure de Quito. La qualité de sa production vaut vraiment une visite. Les peintures naïves de Tigua, petit village proche de Latacunga, sont également très représentatives du patrimoine pictural de l’Équateur. La littérature n’a que peu franchi les frontières du pays malgré la qualité de certains écrivains comme Juan Montalvo (1832-1894) ou Jorge Icaza (1906-1979). Enfin le cinéma connaît un nouvel essor grâce à Sebastian Cordero dont des œuvres comme « Ratas, ratones, rateros » ou plus récemment « Rabia », produit par Benicio del Toro, ont remporté de nombreux prix internationaux.
Fêtes et évènements culturels
Il serait dommage de ne pas profiter de votre voyage pour assister à une des nombreuses fêtes organisées en toutes régions d’Équateur. Sur les hauts plateaux des Andes ou sur la côte, les fêtes équatoriennes sont fascinantes et colorées. Dans la mesure du possible et si vous êtes intéressés, nous vous proposerons donc un déroulé de votre séjour qui vous permettra d’assister à une de ces fêtes.
Parmi celles-ci : le carnaval de Guaranda en février, la Semaine sainte à Quito, la fiesta del Yamor à Otovalo en septembre, le Pase del Niño à Noël, l’Inti Raymi (équinoxe d’été) dans la région d’Otavalo ou encore la fiesta de la Mama Negra en septembre à Latacunga.
La gastronomie
Les deux principaux symboles de la gastronomie équatorienne sont: le ceviche, délicieuse soupe froide à base de tomates, jus d’oranges, crevettes et coriandre, et le cuy, cochon d’Inde grillé, excellent si le cœur vous en dit.
Les soupes vous réchaufferont dans la Sierra, vous vous régalerez de fruits de mer sur la côte ou de la délicieuse cuisine populaire de la Sierra : fritada, llapingachos, empanadas, mote. Vous apprécierez les jus de fruits frais mixés et servis à chaque repas : tomate de arbol, papaye, maracuja, mangue, etc. Sur le marché de Riobamba, vous pouvez déguster ces jus élaborés avec la glace du Chimborazo. Découvrir l’Équateur au travers de sa gastronomie est très intéressant.
Cela permet d’en déceler toute sa diversité culturelle et favorise les rencontres et la convivialité. Nos activités inédites incluent cette découverte au travers de cours de cuisine, visite de marchés avec des professionnels ou l’élaboration d’un repas familial.
Une biodiversité unique
L’Équateur, le pays des 4 mondes, possède une variété géographique inégalée. Sur un territoire grand comme la moitié de la France elle abrite également la plus grande biodiversité au monde par kilomètre carré. La faune et la flore y sont exceptionnelles.
La Sierra
La région andine est la promesse de paysages époustouflants et variés : l’allée des volcans enneigés, le páramo au climat rude et à la végétation fascinante et les «patchworks » de cultures à flanc de montagne. Le Cotopaxi (5897 mètres) est le plus haut volcan actif du monde et le sommet du Chimborazo (6310 mètres) est le point le plus éloigné du centre de la terre.
Cette portion de la Cordillère des Andes constitue le berceau de l’Équateur car elle y concentre les cités historiques et les sites archéologiques les plus importants. Sillonner les routes sinueuses des Andes en voiture ou en train est un enchantement permanent. Dans certaines zones, il est possible d’observer condors et ours à lunettes.
L'archipel des Galápagos
Cette portion de la Cordillère des Andes constitue le berceau de l’Équateur car elle y concentre les cités historiques et les sites archéologiques les plus importants. Sillonner les routes sinueuses des Andes en voiture ou en train est un enchantement permanent. Dans certaines zones, il est possible d’observer condors et ours à lunettes.
Une croisière vous permettra d’en découvrir toute la magie. Nager et jouer avec les otaries, observer les iguanes, les tortues marines et terrestres géantes, les fous à pattes bleues et albatros, sont autant d’expériences qui rendront votre séjour unique.
L'Amazonie
La région amazonienne avec ses parcs naturels, sa faune et sa flore exceptionnelles, vaut véritablement une étape. La forêt tropicale humide, dense et profonde, recèle des trésors de biodiversité inestimables. Elle est sillonnée par de nombreux affluents du fleuve Amazone, comme le Rio Napo ou le Rio Pastaza. Le parc Yasuni, parmi les nombreux parcs nationaux, a été classé en biosphère par l’UNESCO.
Il abrite le jaguar et le singe hurleur entre autres. 900 espèces d’arbres ont été recensées sur une seule parcelle de 2 hectares. Un séjour dans un lodge luxueux ou plus rustique et des balades en pirogue vous permettront de vivre l’expérience amazonienne de la meilleure manière et en toute quiétude.
La côte Pacifique
On y trouve de nombreuses plages agréables, comme la Playa de los Frailes. Cette bande de terre est constituée de plaines et de collines à la végétation évoluant entre celle qu’on peut trouver dans une région semi-désertique, une luxuriante forêt tropicale, la savane ou la mangrove.
Une traversée jusqu’à la Isla de la Plata vous permettra de découvrir une faune et une flore assez similaires à celles des Galápagos et surtout d’admirer le ballet des baleines entre les mois de juin et septembre. Aujourd’hui, Guayaquil deuxième ville du pays vaut le détour.
Elle est la capitale économique et commerciale du pays. Il faut flâner à la nuit tombée le long du Malecón et visiter le Palacio de Cristal construit par Gustave Eiffel, se perdre dans les ruelles du quartier de Las Peñas, aux maisons en bois colorées et aux nombreuses galeries d’artistes.
La Faune
**Les oiseaux **
On en rencontre en Équateur plus de 1500 espèces, soit deux fois plus qu’en Amérique du Nord. Le condor des Andes, les fous à pattes bleues, les albatros des Galápagos, la multitude de colibris ou encore les magnifiques coqs de roche et toucans sont parmi les espèces les plus emblématiques du pays.
**Les mammifères **
Ours à lunettes, singes hurleurs, ouistitis, paresseux, lamas, vigognes, renards andins, dauphins d’eau douce, fourmiliers, tatous sont quelques uns des animaux que vous risquez de croiser lors de votre séjour. Il est également très facile d’observer les baleines dans la région de Puerto Lopez entre les mois de juin et septembre.
Les insectes
Les 4500 espèces de papillons raviront les amateurs. Observer la vie des fourmis et découvrir sans peur les nombreuses espèces d’araignées feront également partie du plaisir de la découverte.
Les amphibiens et reptiles
Les grenouilles constituent la majorité des 460 espèces d’amphibiens en Équateur. Les dendrobates comptent parmi les plus colorées au monde. Leur robe va du rouge-orange vif tacheté de noir au vert électrique. La tortue terrestre, les iguanes marins et terrestres des Galápagos ainsi que le caïman des lagunes de l’Amazonie s’observent tous quatre très facilement. On recense quelques 410 espèces de reptiles à travers tout le pays.
Repères Historiques
Le Capac Ñan, en langage quechua, signifie la route royale et désigne le célèbre Chemin de l’Inca. Du sud de la Colombie au Chili, il traverse ainsi l’Équateur, le Pérou et la Bolivie.
Le Capac Ñan a permis l’unification des routes préhispaniques. Il était le lien politique, économique, mais aussi culturel et spirituel de l’Empire Inca. Il incarne le défi relevé avec génie par les peuples andins pour s’adapter à une nature verticale et hostile.
L’ironie du sort a voulu que les conquistadors menés par Pizarro aient pu sans difficulté mener leur colonisation en empruntant ce chemin.
Les civilisations pré-Incas
Avant l’arrivée des Incas,de nombreuses civilisations siègent sans trop laisser de traces. Vers le 12ème siècle, plusieurs petits territoires établis dans les Andes ou sur la côte sont gouvernés par un certain pouvoir théocratique. Parmi ceux-ci, il y avait les Caras, qui s’étaient installés sur la côte Pacifique, les Quitus, qui avaient élu domicile dans les Andes centrales et les Cañaris dans les Andes du Sud.
L'Empire Inca
Les Incas sont établis dans la région depuis le 11ème siècle. Mais il faut attendre l’avènement du neuvième Inca, Pachacutec et son génie militaire, pour que l’Empire connaisse une expansion fulgurante au début du 15ème siècle. Les tribus conquises se voient alors imposer le quechua comme langue officielle. Ses conquêtes s’étendent ainsi du sud de l’Équateur au nord du Chili. Son fils, Tupac Yupanqui, poursuit les conquêtes vers le nord de l’Équateur en assimilant les Cañaris et les Quitus. En 1528, Tupac Yupanqui passe le flambeau à son fils, Huayna Capac. Alors qu’une épidémie de variole emporte ce dernier, la rumeur de la présence d’étrangers barbus et casqués enfle. L’Espagnol Francisco Pizarro vient en effet de débarquer à Esmeraldas.
L’arrivée des conquistadors, assoiffés d’or, coïncide tristement avec une lutte fratricide, à la mort de Huayna Capac, entre son fils légitime, Huascar, et Atahualpa, le fils né de l’union avec une princesse de Quito. Atahualpa finira par vaincre son frère en 1532 à Ambato dans le centre du pays et devient ainsi le roi d’un empire meurtri et divisé. Cette division facilite la victoire de Pizarro sur les troupes pourtant largement plus nombreuses d’Atahualpa. Ce dernier est capturé et une forte rançon est demandée. Sans attendre la remise de cette rançon, Pizarro trahit Atahualpa, le baptise et le fait exécuter en 1532.
Le général de guerre Rumiñahui, qui devait apporter la rançon pour permettre la libération d’Atahualpa, apprenant qu’il avait été tué, cacha le trésor dans les montagnes équatoriennes. Certains le cherchent encore aujourd’hui.
L'Ère Coloniale
Pizarro et ses hommes n’ont qu’à suivre le Capac Ñan pour coloniser rapidement tout le territoire et relier les villes entre elles. L’Inca Rumiñahui, redoutable et courageux guerrier, ne baisse pas les bras et tente de résister mais est également défait et tué. Dans les années qui suivent, l’Équateur est miné par des querelles intestines. Après avoir exploité l’or et l’argent, les Espagnols se tournent vers la culture d’une terre particulièrement fertile. C’est sur la côte équatorienne qu’on plante les premières bananes d’Amérique du Sud. Les nouveaux arrivants importent alors vaches, mulets, chevaux et porcs. Les marchandises transitent par le port de Guayaquil qui devient le passage obligé des galions espagnols.
La religion catholique est imposée aux amérindiens et les ordres religieux, comme les franciscains ou les dominicains puis les jésuites, font leur apparition. Les villes coloniales de Quito, Cuenca, Ibarra ou encore Riobamba sont érigées. Ces villes sont encore aujourd’hui le témoin d’une période faste pour l’art baroque et l’architecture coloniale d’une manière générale. Ces constructions ont été possibles grâce à l’exploitation, dans des conditions très pénibles, des amérindiens mais également d’esclaves venus d’Afrique.
De l'indépendance à aujourd'hui
Pizarro et ses hommes n’ont qu’à suivre le Capac Ñan pour coloniser rapidement tout le territoire et relier les villes entre elles. L’Inca Rumiñahui, redoutable et courageux guerrier, ne baisse pas les bras et tente de résister mais est également défait et tué. Dans les années qui suivent, l’Équateur est miné par des querelles intestines. Après avoir exploité l’or et l’argent, les Espagnols se tournent vers la culture d’une terre particulièrement fertile. C’est sur la côte équatorienne qu’on plante les premières bananes d’Amérique du Sud. Les nouveaux arrivants importent alors vaches, mulets, chevaux et porcs. Les marchandises transitent par le port de Guayaquil qui devient le passage obligé des galions espagnols.
La religion catholique est imposée aux amérindiens et les ordres religieux, comme les franciscains ou les dominicains puis les jésuites, font leur apparition. Les villes coloniales de Quito, Cuenca, Ibarra ou encore Riobamba sont érigées. Ces villes sont encore aujourd’hui le témoin d’une période faste pour l’art baroque et l’architecture coloniale d’une manière générale. Ces constructions ont été possibles grâce à l’exploitation, dans des conditions très pénibles, des amérindiens mais également d’esclaves venus d’Afrique.
Avant votre voyage, voici quelques informations pour faire vos préparatifs et éviter les mauvaises surprises ! Consultez tous nos conseils pratiques.
Dois-je me faire vacciner de la fièvre jaune ?
Si vous lisez les conseils « officiels » du Ministère des Affaires Etrangères, la vaccination contre la fièvre jaune est recommandée. Toutefois, les zones de l’Amazonie où nous envoyons nos clients ne sont actuellement pas concernées.
Hormis les vaccins recommandés en Europe, vous n’avez donc besoin de rien de particulier.
N’étant pas habilités à donner des conseils médicaux, cette recommandation est donc strictement personnelle mais se base sur l’avis des médecins équatoriens ou étrangers sur place.
Pour votre information, le vaccin contre la fièvre jaune est désormais valable à vie, depuis juin 2017, et ce, même si vous avez été vaccinés avant cette date.
Dois-je prendre un traitement antipaludéen ?
Si vous lisez les conseils « officiels » du Ministère des Affaires Etrangères, le traitement antipaludéen est recommandé.
Toutefois, les zones de l’Amazonie où nous envoyons nos clients ne sont actuellement pas concernées. Les risques étant quasi-néants et les effets secondaires d'un traitement antipaludéen pouvant être très gênants, la balance bénéfice-risque n’est pas favorable.
N’étant pas habilités à donner des conseils médicaux, cette recommandation est donc strictement personnelle mais se base sur l’avis des médecins équatoriens ou étrangers sur place.
Que dois-je mettre dans ma valise ?
Si vous voyagez dans toutes les régions de l’Equateur, il vous faudra prévoir une garde-robe très étoffée, car vous traverserez les quatre saisons, parfois dans une même journée.
Une fois votre voyage confirmé, nous vous ferons parvenir une liste détaillée de tout ce que vous devez apporter.
Comment bien profiter des Galapágos ?
Aux Galapagos, nous incitons vivement nos clients à faire le choix de la croisière, car elle-seule vous permet d’accéder aux îles inhabitées les plus intéressantes et les plus riches en faune et en flore.
Nous vous suggérons des croisières de 4 à 7 nuits sur de petits bateaux de 12 à 16 places maximum, dont nous sommes certains du bon rapport qualité-prix et de l’intérêt de l’itinéraire proposé. Le snorkeling est possible tous les jours lors d’une croisière.
Il faut savoir qu’un séjour en hôtel peut engendrer plusieurs désagréments :
- Tout d’abord, cela ne revient pas forcément moins cher qu’une croisière, surtout si vous souhaiter faire des excursions à la journée intéressantes (celles-ci sont très chères)
- Les sites en libre-accès sur les îles habitées (Santa Cruz, Isabela et San Cristobal) manquent singulièrement d’intérêt par rapport au reste de l’archipel
- Le rapport qualité-prix de l’hôtellerie laisse souvent à désirer.
- En bref, beaucoup de gens rentrent déçus d’un séjour en hôtel, au vu de l’investissement et du décalage entre l’image que l’on peut s’en faire et la réalité. Nous sommes à votre disposition pour en discuter avec vous bien entendu.
Un séjour en hôtel doit toutefois être envisagé en cas de mal de mer sévère ou si vous voyagez avec des enfants en bas âge (moins de 10 ans).
Comment puis-je être certain du sérieux de votre agence ?
Si vous désirez être rassurés quant à la qualité de nos prestations et au sérieux de notre suivi, nous vous invitons à lire les témoignages de nos clients (voir la page) et les articles parus dans les guides et dans la presse (voir la page).
Vous pouvez également parcourir les nombreux forums de voyage à votre disposition et les témoignages certifiés parus sur le site d’EVANEOS (agence de Philippe).
Combien de régions peut on visiter en 2 ou 3 semaines ?
Si vous disposez de 2 semaines, nous vous conseillons de vous limiter aux Andes et à l’une des autres régions (Amazonie, côte pacifique ou Galapagos). 2 semaines complètes exclusivement dans les Andes peuvent être également une bonne option.
En 3 semaines, vous pouvez visiter les Andes, l’Amazonie et la côte pacifique OU les Galapagos.
Un mois complet peut vous permettre de découvrir les 4 régions.
Quel budget prévoir ?
Nos séjours étant exclusivement sur-mesure et individuels, il est difficile de répondre précisément à cette question pour l’Equateur. Le prix dépend de la catégorie d’hébergement, du nombre de participants, du type d’accompagnement (guide ou chauffeur), des repas et des activités inclus.
En revanche, aux Galapagos, si vous souhaitez découvrir l’archipel dans de bonnes conditions, il faut consacrer un minimum de 1600 USD par personne pour 5 jours/4 nuits, vols intérieurs aller-retour compris, que ce soit en hôtel ou en croisière.
En-deçà de ce budget, cela signifierait que ne seraient pas prévues des excursions intéressantes, celles qui vous permettent d’observer la faune marine et terrestre dans son milieu naturel.
Quelles sont les activités possibles ?
Fidèle à l’esprit de notre agence, nous aimons proposer des activités inédites : la visite des lieux insolites et secrets de Quito, les mines de glace du volcan Chimborazo, des cours de cuisine, une étape dans une plantation de cacao ou de café, etc.
De nombreuses autres activités culturelles et sportives sont possibles.
Nous vous invitons à toutes venir les découvrir sur la page dédiée de notre site Internet (voir la page).